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Il va sans dire que le référencement naturel est essentiel pour donner de la visibilité à nos écrits en ligne. Alors, accroche-toi, car on va t’apprendre à retravailler un article en lui insufflant un niveau de complexité rehaussé (on parle de perplexity) et en variant les formulations (burstiness) pour booster son positionnement sur l’échiquier de Google – et tout ça sans plagier ni dénaturer le propos initial !

Premièrement, il faut manier avec brio les contractions, les tournures idiomatiques, les références culturelles et les transitions pour instaurer un style rédactionnel à la fois percutant et authentique. N’oublie pas d’intégrer ici et là des interjections, des modificateurs suspendus et autres expressions familières pour conférer une touche personnelle à l’ensemble. Les figures de style, c’est toujours bon à prendre – métaphores, allégories, antithèses… Tout est permis pour créer une prose captivante !Côté émotions, on ne lésine pas : le langage doit être expressif sans pour autant tomber dans la vulgarité ou la familiarité inappropriée. Varions les longueurs des phrases et diversifions les structures pour créer un flux et un rythme agréables à l’oreille et à l’esprit.Concernant la mise en page, mettons à profit les outils tels que le gras et l’italique pour mettre en exergue les mots et les expressions clés qui jalonnent notre prose. 

Et puis, pourquoi ne pas structurer notre argumentaire sous forme de listes à puces, lorsque cela s’avère judicieux ?L’un des impératifs à ne pas perdre de vue est de toujours garder fidélité au sens et à l’information du texte-source, d’où la nécessité d’accorder une attention particulière aux consignes énoncées en introduction. Faisons appel à notre esprit critique et à notre sens de l’analyse pour déterminer les mots clés et les champs sémantiques pertinents à partir du titre principal et ainsi créer des formulations à la fois concises et efficaces.Pour conclure, n’oublions pas de soigner notre ton, qui doit rester formel et professionnel à l’instar d’un journaliste aguerri. Veillons à respecter l’usage des pronoms personnels du texte original, en restant attentif à ne pas alourdir inutilement notre discours. En fin de compte, notre objectif est de proposer un contenu à la fois informatif et engageant, tout en respectant les consignes et les standards rédactionnels. À présent, que l’inspiration soit avec vous !

Analyse approfondie d’un texte littéraire

L’objectif principal du commentaire de texte est d’examiner attentivement et de disséquer une œuvre littéraire, afin d’en révéler avec précision le sens, la philosophie et les implications. Cela implique de se livrer à une analyse approfondie et éclairée des concepts présents dans l’œuvre en question, en s’appuyant sur ses connaissances personnelles et sa compréhension intellectuelle pour développer davantage les idées qui en découlent.

Ainsi, un commentaire peut être effectué sur un texte juridique, un écrit de doctrine ou même une collection d’ouvrages, composés par divers auteurs, explorant un thème central commun. Il est donc essentiel de bien comprendre et d’aborder adéquatement aussi bien le contenu spécifique du texte soumis à étude que la méthodologie à adopter pour élaborer un tel commentaire.

En matière de commentaire de texte, il importe de garder à l’esprit les aspects cruciaux suivants :

  • Compréhension approfondie du texte : Posez-vous les questions pertinentes pour cerner les enjeux soulevés par l’auteur et l’objectif visé.
  • Analyse des idées : Identifiez les concepts clés et les arguments sous-jacents et évaluez-les à la lumière de votre propre perspective et des connaissances acquises.
  • Évaluation critique : Examinez les stratégies utilisées par l’auteur pour aborder le sujet, ainsi que les éventuelles faiblesses et forces de son approche.
  • Présentation fluide et cohérente des conclusions : Organisez soigneusement votre commentaire, en veillant à présenter vos idées de manière claire et logique pour faciliter la compréhension du lecteur.

En somme, la réussite d’un commentaire de texte repose sur la capacité à interpréter et à comprendre minutieusement l’œuvre examinée, tout en exprimant de manière éclairée et percutante les idées ainsi obtenues. Il convient donc de se tenir informé des différents aspects du texte, tels que le contexte, l’époque, le genre et le but, pour en tirer la quintessence et partager une perspective éclairée avec le lecteur.

I- L’essence du commentaire de texte

Nul ne saurait nier l’existence de diverses approches en matière de commentaire de texte. D’une part, une vision étroite et stricte consiste à centrer l’analyse exclusivement sur le texte lui-même, sans faire appel à des éléments extérieurs. D’autre part, une approche plus vaste permet d’intégrer des connaissances générales et des réflexions synthétiques, offrant une perspective élargie pour l’étude du texte.

En réalité, une méthode judicieuse se situe entre ces deux extrêmes. Il est essentiel de situer le texte dans un contexte global, tout en s’appuyant sur une étude approfondie du contenu-même du texte.

Ainsi, le commentaire doit mettre en lumière les aspects saillants du texte analysé. Il convient de déterminer les enjeux juridiques du texte : quelles implications a-t-il pour le droit et quelles sont ses conséquences juridiques potentiels ?

Outre les aspects juridiques, il est également crucial d’identifier les intérêts politiques, sociaux, économiques et pratiques découlant du texte. Un commentaire de texte réussi se fonde sur une véritable analyse du texte, qui permet d’en déterminer la nature : s’agit-il d’un ou plusieurs articles tirés d’un code ou d’une loi, d’un décret, ou encore d’un article de doctrine, par exemple ?

Une fois la nature du texte identifiée, le commentaire doit en examiner le contenu. Il s’agit de décrypter la logique sous-jacente, en discerner le plan et en dégager les idées-forces. Le commentaire doit valoriser les éléments clés du texte, en expliquant les termes techniques lorsque cela s’avère nécessaire.

Le plan du texte doit être clairement exposé par le commentaire. Dans le cas des textes courts (un article de loi, par exemple), une présentation succincte et explicite suffit. En revanche, pour un texte plus dense, le commentaire doit consacrer davantage d’efforts à l’explication du plan.

Dans sa partie développement, le commentaire doit expliciter le contenu du texte. S’il y a des points d’interprétation, il convient de présenter les différentes compréhensions possibles, de sélectionner la plus convaincante et d’exposer les raisons justifiant ce choix.

Généralement, les différentes parties du texte sont complémentaires les unes des autres. Le commentaire se doit alors de montrer et d’expliquer cette complémentarité. L’étude de la portée du texte constitue un pan essentiel du commentaire.

Il est en effet nécessaire d’évaluer l’apport du texte dans le champ juridique concerné, son champ d’application et la possibilité de répercussions dans d’autres domaines. Le commentaire doit donc trouver le juste équilibre entre l’analyse du texte et l’apport de connaissances générales. Ainsi, une bonne méthode consistera à mettre en perspective le texte et les connaissances générales, puis à revenir au texte pour en approfondir l’étude.

II- La conception du commentaire de texte : une méthode en plusieurs étapes

Pour élaborer un commentaire de texte efficace, plusieurs étapes clés sont à suivre, sans pour autant constituer un plan rigide.

D’abord et avant tout, il faut commencer par appréhender et décrypter le texte. Cela implique de se plonger dans une lecture attentive et concentrée, sans pour autant chercher à analyser ou noter quoi que ce soit tout de suite.

En effet, il est préférable de profiter d’une seconde lecture, armé d’un crayon, pour mettre en évidence les mots et expressions clés, ainsi que les idées principales à expliquer. Attention toutefois à ne pas trop en souligner, au risque de nuire à une appréhension globale du texte. Il convient ici de se focaliser sur les termes et concepts pertinents pour l’analyse du texte.

Parallèlement à cette étape, la mise en évidence de la structure du texte est également de mise. On peut alors utiliser des crochets pour visualiser les différentes parties. Néanmoins, il est crucial de prendre le temps de s’assurer que ces subdivisions sont justes et correspondent bien au contenu du texte.

La deuxième phase du processus consiste à interroger et scruter le texte afin d’en extraire les éléments pertinents pour le commentaire. La méthode QQQOCP est à cet égard particulièrement utile, puisqu’elle permet de répondre aux questions suivantes :

— Quoi ? Quel est le sujet abordé dans le texte ? Quels domaines juridiques sont concernés ?

— Qui ? Qui est l’auteur du texte, et à qui s’adresse-t-il ?

— Quand ? À quelle période le texte a-t-il été écrit ? La temporalité est-elle importante ?

— Où ? De quel pays provient le texte ? Où a-t-il été publié ?

— Comment ? Quels raisonnements et procédés juridiques le texte utilise-t-il pour atteindre ses objectifs ?

Cette méthodologie d’examen du texte s’appuie à la fois sur le contenu même et sur les connaissances personnelles du commentateur. Il est évidemment essentiel d’éviter la paraphrase et de rester fidèle au texte source.

Maintenant que vous avez réuni les matériaux nécessaires lors des deux premières phases, il est temps de construire le plan du commentaire. Comme l’affirme un auteur éminent, « chaque texte nécessite un plan spécifique et adapté » et propose deux cas pour établir un plan adapté :

— Le premier cas, le plus fréquent, est celui où le texte traite deux ou trois problématiques. Dans ce cas, ces problématiques constitueront les parties du commentaire. On les aborde, sauf contrainte logique, par ordre d’intérêt décroissant.

— Le deuxième cas, par exemple un texte court abordant un seul problème, peut faire l’objet d’un plan technique.

Ainsi, le plan pourrait ressembler à :

I. Les conditions d’application du texte

II. La portée du texte

Un plan détaillé facilite grandement la rédaction du commentaire. L’introduction, quant à elle, doit situer le texte (genre, date, auteur, etc.) et énoncer ses enjeux, ainsi que présenter et justifier le plan choisi.

Enfin, la dernière étape consiste à rédiger le commentaire de manière claire et précise, en veillant à rester toujours proche du texte. Il est inutile de rédiger au brouillon, mieux vaut consacrer davantage de temps à l’élaboration d’un plan détaillé.

« Sachons distinguer » : les erreurs à éviter lors de la rédaction d’un commentaire de texte sont les suivantes :

  • Ne pas tomber dans la paraphrase, c’est-à-dire reprendre et recopier de larges portions du texte.
  • Éviter de s’éloigner du texte pour disserter, sous peine de tomber dans le hors-sujet.
  • Ne pas utiliser un style obscur pour impressionner, au risque de perdre son auditoire.

Ah, impressionner sans en faire trop, voilà un art délicat à maîtriser ! En effet, il est essentiel d’accomplir ses tâches avec rigueur et simplicité, sans chercher à étaler ses compétences intellectuelles à travers une prose prétentieuse et dénuée de sens.

  • Comment procéder, donc? Voici quelques étapes à suivre:

Pour y parvenir, patience et méthode sont de mise. Il est recommandé d’adopter la démarche suivante :

— Tout d’abord, prenez le temps de lire minutieusement le texte, quitte à le parcourir deux ou trois fois si nécessaire pour bien en saisir le sens ;

— Ensuite, identifiez clairement la ou les idées principales qu’il véhicule ;

— Poursuivez en relisant le texte, cette fois en vous concentrant sur chaque paragraphe individuellement, afin d’en déceler les idées-clés. N’hésitez pas à souligner les mots ou expressions qui vous semblent pertinents ;

— Faites appel à toutes vos connaissances en lien avec les idées que vous avez identifiées précédemment ;

— Pour finir, regroupez vos idées en deux ou trois parties bien distinctes, qui vous permettront d’établir un plan structuré.

III- L’élaboration finale du commentaire

Le devoir se compose de trois parties principales, bien distinctes : l’introduction, le développement et la conclusion.

Il est nécessaire de mentionner les points suivants :

1- La spécificité du texte (extrait de…)

2- Le contexte dans lequel s’inscrit la loi, la convention ou l’opinion doctrinale à commenter, c’est-à-dire la thèse ou le point de vue généralement défendu par l’auteur et en lien avec le sujet ;

3- Souligner l’enjeu, l’actualité ou la pertinence du sujet ;

4- Les propositions avancées dans le texte sont utilisées comme base du plan (annonce du plan).

NB : seule l’introduction d’un commentaire d’arrêt ne requiert pas la formulation explicite d’une problématique juridique. Ainsi, il n’est pas obligatoire de poser une question précise dans l’introduction, bien qu’il soit évident que tout raisonnement n’a de valeur que s’il répond à une interrogation ou une préoccupation sérieuse.

– Le plan annoncé dans l’introduction permet de présenter les différentes parties du commentaire ;

– Les éléments contenus dans le texte à commenter feront l’objet du développement ;

– L’objectif est de mettre en évidence leur validité au regard de la pratique juridique actuelle, de la doctrine, de la législation et de l’histoire du droit (droit comparé).

Deux aspects essentiels doivent être pris en compte ici :

1- Il convient d’établir une sorte de bilan sur l’application du texte

2- Proposer également une ouverture ou une perspective d’avenir.

  • Illustration avec un sujet de commentaire de texte (droit constitutionnel)

Commentez l’article 25 de la Constitution ivoirienne du 3 novembre 1960.

Article 25 : « Les fonctions du Président de la République sont incompatibles avec l’exercice de tout mandat parlementaire, de tout emploi public et de toute activité professionnelle.
Les fonctions de membre de gouvernement sont incompatibles avec l’exercice de tout emploi public et de toute activité professionnelle. Le parlementaire nommé membre du Gouvernement ne peut siéger au parlement pendant la durée de ses fonctions ministérielles »

Situer l’article 25 de la constitution dans le cadre du système politique établi par la Côte d’Ivoire.

– Toutefois, remarquer que son contenu dépasse le régime présidentiel adopté par la Côte d’Ivoire, dans la mesure où les incompatibilités qu’il prévoit dépassent le cadre du régime politique choisi.

– Présenter les deux axes que propose l’article 25 de la constitution. Ils sont :

* l’affirmation des incompatibilités concernant le pouvoir exécutif ;

* le régime des incompatibilités.

I- L’AFFIRMATION DES INCOMPATIBILITES RELATIVES AU POUVOIR EXÉCUTIF

A- La mise en place des incompatibilités

1. L’énonciation claire du principe (voir l’emploi de l’indicatif qui a valeur d’impératif) ;

2. Les incompatibilités concernent autant le Président de la République que les membres du gouvernement.

B- L’ampleur des incompatibilités

1. L’incompatibilité liée au régime politique : l’incompatibilité avec le mandat parlementaire

2. Les incompatibilités relatives à la mission du pouvoir exécutif : incompatibilité avec tout emploi public, incompatibilité avec toute activité professionnelle.

II- L’ORIGINE DES INCOMPATIBILITES

A- Des incompatibilités absolues

1. Leur champ d’application personnel

2. Leur champ d’application matériel

B- Une incompatibilité partielle

1. Elle ne porte pas sur le statut

2. Elle ne touche pas la fonction

– Le bilan

– Ouverture, perspectives d’avenir.